Ultimi arrivi

Un art unique et féerique créé au Vietnam par les paysans des rizières.Ces petites poupées racontent les travaux et jeux des villageois. Un divertissement populaire, issu d’une tradition ancestrale qui promet un magnifique dépaysement.
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L'exposition-dossier permet de faire revivre la magie perdue des trente premières années du cinéma muet, et de montrer le rôle capital joué par la musique dans l'aventure de cette nouvelle forme d'art. L'expérience se révéla totalement originale, à une époque où l'association d'images animées, de pantomimes et de musique n'était pas sans évoquer une certaine parenté avec la danse et le théâtre. Avec l'arrivée du parlant, cet art devait disparaître progressivement et tomber dans l'oubli.L'histoire montre qu'aucun spectacle n'était totalement muet. Les maquettes de théâtre que l'on a conservées le prouvent : elles montrent toujours l'existence d'un orchestre, au moins d'un piano. Les séances des frères Lumière sont accompagnées par un pianiste compositeur, M. Marval, sur un piano Gaveau. Peu après, en 1904, Georges Méliès offre aux exploitants une partition adaptée de Gounod pour son film, Faust et Margueritte. En 1908, Camille Saint-Saëns compose une musique dramatique synchrone pour le film d'art l'Assassinat du duc de Guise. Une section de l'exposition-dossier lui est consacrée ; cette oeuvre représente l'une des tentatives les plus abouties d'association entre l'image et la musique.A mesure que le film découvre sa fonction, celle du mode narratif et dramatique, la musique se fait de plus en plus indispensable. Elle renforce l'attention du spectateur et dynamise le rythme des images. Dans les premières années du cinéma, de nombreux efforts sont réalisés pour synchroniser musique mécanique et musique enregistrée avec l'image cinématographique. Le biophonographe, le chronophone Gaumont et les machines à bruit en témoignent.Après ces balbutiements, le temps est venu où les compositeurs de renom acceptent de créer des partitions symphoniques, qui vont accompagner de prestigieux films muets dans les grandes salles de cinéma.Portraits, objets, appareils, affiches et partitions retracent cette expérience audiovisuelle unique, que l'on appelle aujourd'hui de manière trompeuse, cinéma muet.
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Questo libro vuole essere soprattutto un omaggio a Mimmo Cuticchio, ai suoi settant'anni, grandissima parte dei quali vissuti tra i pupi, paladini, giganti, maghi, re coronati e lunari saraceni. È stato lui ad accendere gli interrogativi che hanno guidato le mie ricerche. Lui e le sue "superstizioni", necessità intrinseche alla sua natura di artista, credenze e convinzioni che "stanno sopra la realtà" e alle quali non chiede di essere vere, ma soltanto d'essere efficaci, feconde nello stimolare il processo creativo. Ganci ai quali appendere e attraverso i quali alimentare le proprie convinzioni e le proprie ricerche. Fecondi non solo per l'artista che li usa come punti di forza del proprio procedere, ma anche per lo studioso. Entrambi, l'artista e lo studioso, sono ben consci di occuparsi di storie diverse e della necessità di procedere ognuno per proprio conto, ma anche con lo sguardo al compagno di strada per accoglierne stimoli e dare le risposte che ognuno può dare con i propri strumenti. Questo l'artista e le sue superstizioni possono insegnare allo studioso. Niente di più, ma non è poco. È, anzi, una ricchezza enorme»
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Il volume, uscito per la collana I quaderni del Castello di Elsinore, raccoglie gli atti di un convegno tenuto ad Alba dal 30 ottobre al 1 novembre 2001. Alcuni interventi hanno affrontato l'argomento proposto dal titolo guardando al rapporto fra strutture di produzione o fruizione spettacolari e città moderna: Casetti parla dell'integrazione delle sale cinematografiche nel "palcoscenico" urbano, Bianchi dell'uso di spazi "impropri" da parte dell'avanguardia teatrale americana, Bertinetti e Perrelli dei teatri di Londra e Stoccolma all'inizio dello scorso secolo, Rassu della fondazione del Piccolo, Prono della storia di Torino come location cinematografica. La prospettiva generalmente preferita è stata però quella dell'analisi dell'immagine (e dell'immaginario) della metropoli nella drammaturgia (nel senso più ampio) novecentesca
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